mercredi 27 novembre 2013

Perte d'un mobile les conseils de MacAfee en image

Vous êtes un sur deux à préférer perdre votre portefeuille que votre mobile. Une infographie nous explique pourquoi perdre son téléphone peut couter cher.

Perte d'un mobile : les conseils de MacAfee en image

Dans une infographie, l'éditeur de solutions de sécurité pour PC, Mac et appareils mobiles nous donne quelques conseils préventifs et délivre les chiffres sur le cout de la perte de l'appareil.

Ainsi vous êtes 50% à considérer que perdre son mobile est aussi ennuyeux que de perdre son portefeuille. Un chiffre qui s'explique par le cout en temps et en argent que va générer cet évènement désagréable.

Pour éviter la perte d'un smartphone, seule la vigilance est efficace en évitant de le laisser sans surveillance. On ajoutera à cela qu'il vaut mieux éviter de l'exhiber ostensiblement dans des lieux publics, même pour épater la galerie.

Si on ne peut toujours échapper à l'habileté des voleurs, on peut toutefois prendre des précautions pour limiter les problèmes engendrés par la perte. La première est d'utiliser un mot de passe de protection qui s'active au bout de quelques secondes ou minutes, ce qui permettra d'éviter les utilisations abusives.

Mieux vaut également ne pas laisser de connexions actives aux sites sensibles (banques, paiement, réseaux sociaux...) et dans l'idéal utiliser des logiciels spécialisés pour verrouiller, effacer ou localiser le mobile à distance.

Voir l'infographie et participer au sondage "Que préférez-vous perdre ?"

vendredi 8 novembre 2013

Serait-ce la coque plastique de l’iPhone low cost

Un fabricant d’accessoires pour iPhone et iPad a publié une photo de ce qui semble être la coque plastique du futur iPhone d’entrée de gamme.

Serait-ce la coque plastique de l’iPhone low cost ?

Même si on ne sait pas exactement quand est-ce que ce sera, il est acquis qu’Apple dévoilera cette année une évolution de son iPhone 5 qui devrait s’appeler iPhone 5S. Mais à cause de ventes décevantes ces derniers temps, la marque à la pomme va devoir réviser sa stratégie et sans doute proposer également, pour contrer les smartphones Android d’entrée de gamme, une version « économique » ou « low cost » de son téléphone.

Evoquée depuis plusieurs mois mais jamais confirmée par Apple, la piste de l’iPhone low cost prend petit à petit de la consistance, au fur et à mesure des fuites et des révélations. Dernière en date, cette photo de ce qui pourrait être la coque de l’appareil. Révélée par le fabricant de coques de protection pour iPhone et iPad, Tactus, elle montre une coque arrondie et en plastique qui n’a rien à voir avec la coque métallisée des derniers iPhone. L’iPhone low cost serait ainsi légèrement plus épais que les modèles précédents.

Il faut bien sûr prendre cette révélation avec des pincettes, tout comme celles concernant les caractéristiques techniques supposées de l’appareil. Tactus parle d’un processeur A5 identique à celui de l’iPad mini, d’un écran Retina 3,5 pouces, d’un capteur photo 5 millions de pixels, de plusieurs couleurs disponibles, d’un prix de 300 dollars environ et d’une disponibilité au 15 octobre.

Bien entendu, tout ceci ne pourra être vérifié qu’au moment du lancement –s’il devait intervenir un jour– de cet iPhone low cost. (EP)

lundi 14 octobre 2013

Géolocalisation Google revoit sa politique de confidentialité

Une base de données publique de Google stockant des emplacements géographiques posait un gros problème de confidentialité. La firme de Mountain View semble avoir pris des mesures pour restreindre l'accès à ces données sensibles.

Géolocalisation : Google revoit sa politique de confidentialité

Google a franchi une étape pour limiter la divulgation des emplacements de millions d’iPhone, d’ordinateurs portables et de tout autre terminal utilisant le Wi-Fi après un article de CNET (version française) qui attirait l’attention sur la politique de confidentialité de la firme.

Le changement opéré par Google est intervenu après que l’entreprise de Mountain View a été critiquée à propos de la façon dont elle constituait une base de données publique grâce à des smartphones Android et à ses Google Cars, base de données qui liait un emplacement géographique avec une adresse matérielle unique d’un terminal où le Wi-Fi était activé. Avec ce changement Google se rapproche de la méthode adopté par Apple et Microsoft qui n’ont jamais rendu leur base de donnés accessible à tous.

Une source proche de Google a déclaré que quelques changement ont été effectués sur la façon dont sont traités les requêtes de géolocalisation par les serveurs de Google. Un porte parole de la firme de californienne n’a pas souhaité commenter ces dires.

Les serveurs de Google pouvaient révéler les précédents emplacements géographiques

Les terminaux avec le Wi-Fi activé, qu’il s’agisse de PC, d’iPhone, d’iPad ou bien encore de smartphones Android, transmettent un identifiant matériel unique, appelé adresse MAC, à n’importe qui dans un champ de 30 à 60 mètres.

Jusqu’à la publication de l’article du 15 juin sur CNET.com, si quelqu’un attrapait ou connaissait déjà une de ces adresses uniques, les serveurs de Google pouvaient révéler l’emplacement géographique précédent du terminal, incluant de fait les adresses de travail ou de domicile ou même l’adresse du dernier restaurant fréquenté.

Les changements apportés par Google pour plus de confidentialité ne sont pas clairs dans l’immédiat, cela pourrait être une absence de réponse à certains types de requêtes de géolocalisation ou à des requêtes provenant de certaines zones géographiques. La base de données est utilisée pour accélérer la localisation des terminaux mobiles et pour permettre aux PC qui ne sont pas dotés de GPS d’être géolocalisés.

Sur approximativement 3000 adresses MAC que CNET a testé au cours des derniers jours, pas une seule n’a renvoyé un emplacement géographique de la base de données de Google. Avant le 15 juin (jour de la publication de l’article), la base de données de Google montrait ces adresses MAC comme étant localisées à Satsuma (Alabama), près de Charing Cross à Londres, à Newport News (Virginie), en dehors de Pékin et dans bien d'autres lieux encore.


Quelques emplacements géographiques que Google a associé avec des appareils Wi-Fi - image CNET.com

Mais Nick Doty, lecteur à l’Université de Berkeley (Californie) qui co-enseigne au Laboratoire de technologie et de politique (Technology and Policy Lab), déclare que le service de Google semble renvoyer des résultats dans un navigateur web mais pas avec un script Python ou Perl (deux langages de scripts). « Peut-être qu’ils essayent juste de réprimer les personnes qui l’utilise pour des tests indépendants », déclare Nick Dotty, qui avait vu son ordinateur être listé par Google à l'emplacement de son logement précédent à Seattle. […]

 

Obtenir un meilleur contrôle des données de géolocalisation

Kim Cameron, architecte en chef de l’identité chez Microsoft jusqu’à récemment, arrive à la même conclusion. Dans un essai de juin 2010 qui analysait une étude indépendante sur la récolte de données de Google Street View, Kim Cameron écrivait que Google enregistrait les emplacements et les adresses MAC de bien plus que les points d’accès Wi-Fi fixes.

« Il n’y a plus de questions à avoir » écrivait-il. « Les adresses MAC de tous les ordinateurs portables ou téléphones utilisant le Wi-Fi dans les maisons, les entreprises et le gouvernement sont enregistrées par les Google Cars comme un point d’accès sans-fil, et ceci sans regarder l’utilisation de cryptage. »

Google semble être en train de continuer à faire des changements dans sa base de données. Pour un iPhone précédemment localisé à Brisbane en Australie, une interface web pour la base de données de Google créée par le hacker amateur Samy Kamkar renvoyait une latitude de 0 et une longitude de 0 (à l’ouest de l’Angola dans l’océan Atlantique). La nuit dernière, pour la même adresse MAC de l’iPhone australien, le site web donnait un message d’erreur.

« Même les entreprises ne comprennent pas totalement comment elles collectent les données de géolocalisation » 

Marc Rotenberg, à la tête de l’Electronic Privacy Information Center à Washington D.C., compare le changement de position de Google à la décision d’Apple prise en avril de corriger ce qui était un « bug » qui stockait tous les lieux précédents visités, sujet qui devenu d’intérêt public.

« Même les entreprises ne comprennent pas totalement comment elles collectent les données de géolocalisation » selon Marc Rotenberg. « C’est une raison de plus pour laquelle l’emphase doit être portée sur de meilleurs pratiques, et non de meilleures politiques de vie privée. »

La base de données de géolocalisation de Google pouvait être utilisée auparavant dans certains cas pour tracer les déplacements. Un produit HTC connecté un hotspot Wi-Fi de San Francisco s’était déplacé de l’aéroport BWI à une adresse dans la banlieue d’Atlanta en un jour. Un autre terminal appartenant au chercheur en sécurité Ashkan Soltani détecté à San Francisco s’était déplacé du bâtiment d’ingénierie de l’Université de la Ruhr, basé en Allemagne, vers l’autre côté de la route jusqu’au centre de l’université.

Mobile Communication
Crédit image : Creative Commons - Scarygami

 

Une déclaration datant du mois d’avril 2010 de Raphael Leiteritz, un chef de produit Google, disait que la base de données était accessible en envoyant « une liste d’adresses MAC qui sont actuellement visibles par le terminal ». En réponse, Google compare ces adresses « avec une liste d’adresses MAC connues », et ensuite retourne « l’emplacement approximatif. »

Lors d’une audition au Sénat le mois dernier, le directeur des politiques publics de Google Alan Davidson déclarait : « Une base de données des emplacements réseaux connus est requise pour déterminer l’emplacement approximatif d’un utilisateur depuis un accès Wi-Fi ou une antenne cellulaire. »

Il n’est pas toujours facile de connaître l’adresse MAC de la cible. Elle n’est généralement pas transmise sur l’Internet. Mais n’importe qui dans le rayon du Wi-Fi peut l’enregistrer et il est facile de savoir à quelle adresse MAC correspond quel constructeur. Quelqu’un, comme un(e) conjoint(e) suspicieux(se), qui est en possession du terminal peut trouver l’adresse MAC dans les informations du produit simplement.

 

Traduction de Google curbs Web map exposing phone locations sur CNET.com qui fait suit à l'enquête Google's Web mapping can track your phone (Google peut vous suivre à la trace, même sans GPS).

lundi 16 septembre 2013

Nokia rappelle pour échange des batteries défectueuses

Nokia a averti d'un risque de surchauffe pour quelque 46 millions de batteries BL-5C utilisées dans nombre de ses mobiles.

Nokia rappelle pour échange des batteries défectueuses

Surchauffe des batteries : après les PC portables, c'est au tour des téléphones portables d'être touchés. Nokia vient ainsi d’annoncer que les accumulateurs "BL-5C" équipant de nombreux modèles de mobiles pouvaient présenter un risque de surchauffe. Ces batteries siglées Nokia ont été produites par les usines Matsushita Electric Industrial entre décembre 2005 et novembre 2006.

Ce modèle de batterie est le plus utilisé par la marque finlandaise et plus de 300 millions de "BL-5C" ont été fabriquées par plusieurs sous-traitants.

Nokia remplace donc gratuitement les éléments défectueux ou susceptibles de l’être. La procédure de rappel est disponible sur le site du fabricant.

mardi 10 septembre 2013

Composants Apple prêt à quitter Samsung pour TSMC

Même si l’iPhone 5 est équipé d’un processeur fabriqué par Samsung, Cupertino a bien décidé de mettre un terme de manière progressive à son partenariat technologique avec le géant coréen.

Composants : Apple prêt à quitter Samsung pour TSMC

« Les relations entre Apple et Samsung se sont détériorés à un tel point qu’ils projettent de remplir la paperasse nécessaire et de changer de voie. »

C’est ce que révèle une source industrielle à nos confrères de Cnet.com. Des propos confirmés par un consultant de Piper Jaffray qui explique que Apple est plus que jamais déterminé à travailler avec le Taïwainais TSMC et ses usines capables de produire des puces gravées en 20 nm. Selon une source asiatique, ce partenariat serait centré autour de processeurs quad-core. Toutefois, ce passage de témoin ne serait pas imminent, ni exclusif.

« Ils diminuent l’apport de Samsung et augmentent celui de TSMC, mais certains produits seront fabriqués avec des composants Samsung, et l’autre avec TSMC . Je pense que Apple va envoyer le design de ses appareils début 2013 et que la production débutera à la fin de l’année prochaine» explique l’analyste de Piper Jaffray.

Ce dernier rappelle d’ailleurs que ce changement de prestataires pourrait être transparent pour le consommateur. « Quand Apple est passé de puces en 45 nm à celles en 32 nm, personne ne l’a su. On pouvait acheter un iPad sans savoir quelle était la puce utilisée. Ils l’ont fait de manière lente et discrète. » (EP)

 

lundi 2 septembre 2013

114 000 propriétaires d'iPad 3G exposés suite à une faille de sécurité chez AT T

La liste en question comporte les adresses email de nombreuses personnalités dont des hommes politiques, des hauts gradés de l’armée, des P-DG et même le chef de cabinet de la Maison Blanche. Cette faille de AT&T concerne la version 3G de l'iPad.

114 000 propriétaires d'iPad 3G exposés suite à une faille de sécurité chez AT&T

Cette liste vaut de l’or. 114 000 noms avec adresses email et identifiants de connexion de possesseurs d'iPad 3G ont été exposés à cause d’une brèche de sécurité chez AT&T. On y trouve le chef de cabinet de la Maison Blanche Rahm Emanuel, le maire de New York, Michael Bloomberg, le producteur de cinéma, Harvey Weinstein plusieurs hauts gradés de l’armée américaine ou encore des responsables de la Nasa.

C’est le groupe de hackers Goatse Security qui a prévenu AT&T de l’existence d’une faille de sécurité dans son réseau grâce à laquelle ils sont parvenus à récupérer ces données. D’après le site Business Insider qui relate l’affaire, il existerait même une possibilité que les données de tous les abonnés AT&T possédant un iPad 3G puissent avoir été compromises.

En cause, la sécurité de la base de données de l’opérateur recensant les adresses email de ses clients iPad associées à leur profil ICC-ID permettant de les identifier lors d’une connexion sur le réseau. La brèche a depuis été comblée mais plusieurs firmes de sécurité ou expert en piratage ont entre-temps eu accès à ces données. Ils pourraient s’en servir pour spammer voire propager des logiciels malveillants. (EP)

Prévention Et Sécurité Informatique: Comprendre Et Agir

mercredi 21 août 2013

Sony prépare une tablette tactile à clavier coulissant

Le constructeur d'électronique japonais travaille sur une tablette slider à même de concurrencer la Samsung Sliding PC 7. La Sony "Freestyle Hybrid PC" est une ardoise avec un clavier coulissant qui tournera selon toute vraisemblance sous Windows 7.

Sony prépare une tablette tactile à clavier coulissant

Non content de présenter deux tablettes tactiles sous Android Honeycomb aux courbes originales, Sony a également annoncé hier un "Freestyle Hybrid PC". Sous ce nom se cache une tablette dotée d’un clavier coulissant, à la manière du Samsung Sliding PC 7 ou de l’Asus Eee Pad Slider. Pour certains le Freestyle Hybrid PC pourra même rappeler les UMPC (Ultra Mobile PC) – catégorie de terminaux mobiles dont on n’entend plus trop parler – de la marque japonaise.

A part le visuel aucune information officielle n'a été communiquée, mais Engadget croit tout de même savoir que la tablette slider Sony serait équipé d’un écran 9,4 pouces et sortirait à l’automne à 799 dollars. Quant à l’OS qui fera tourner le produit, l’appellation PC a tout l’air d’indiquer que la machine fonctionnera sous Windows 7.

Sony Slider 

A côté de ce terminal, Sony a également donné un très rapide aperçu de ce qui semble être un nouvel ordinateur portable chassant sur les terres du MacBook Air. Ce modèle a été présenté comme un "Ultimate Mobile PC"... soit UMPC, ou comment faire renaître une appellation en décrépitude en changeant un mot.

Sony Ultimate Mobile PC